lundi 30 novembre 2009

Ucg ciné cité ou l'incompréhension. Depuis quelques temps, je remarque un phénomène étrange... les gens se pressent au cinéma le dimanche soir, soit la veille de reprendre le travail, et non le vendredi soir. C'est limite si ils s'appellent entre eux, ou créent un groupe sur facebook : "Réunissons-nous ce dimanche en masse devant UGC et allons TOUS voir 2012" >_<. Mais pourquoi ? C'est comme les gens qui s'appellent avant de partir en vacances pour se retrouver tous ensemble sur l'autoroute dans les bouchons.
Par ailleurs, n'ayant plus ma carte UGC Illimitée (Non, je ne me suis pas ré-abonnée vu mon départ imminent dans l'grand nord), je me dois de payer pour me rassasier en films. Si toi aussi tu vas chez UGC et que toi aussi tu n'as pas (ou plus) la carte UGC illimitée, tu sais certainement que les tarifs varient. Si tu as moins de 18ans, tu payes 5, 90€. Si tu es étudiant, tu payes 6,80€ sauf le week end où tu dois débourser 9,90€ pour une place...
Or, Week end signifie concrètement fin de semaine, soit en principe le samedi et le dimanche et NON le vendredi. Mais chez UGC saches que le WE commence le vendredi à 19h.
Tout le monde n'a pas la même conception du Week End.

jeudi 26 novembre 2009

Seven

Taguée par Stouf, écrire 7 choses que j'aime bien, je me dois:

1) J'aime bien rester sous la couette le matin.
2) J'aime bien les longues soirées d'hiver et les chocolats chauds.
3) J'aime bien avoir des fous rires.
4) J'aime bien rentrer chez moi après une longue journée de dur labeur.
5) J'aime bien ne pas tout prévoir.
6) J'aime bien les soirées pépéres entre ami(e)s en petit comité.
7) J'aime bien les polaroïds, le vintage et les plats de mam(-an)(-ie).

Plat comme une autoroute.

Chacun ses goûts, chacun son avis/opinion. Personnellement, la lecture de Journal d'Hirondelle d'Amélie Nothomb ne m'a pas transcendé. Si j'ai trouvé l'histoire étrange, à l'image du style de l'auteur, je n'y ai pas trouvé un grand intérêt. Contrairement à Hygiène de l'Assassin et Métaphysique des Tubes, que j'avais adoré j'ai comme qui dirait été très déçue.

vendredi 20 novembre 2009

Nous, on jouait aux billes

Je me souviens à l'époque de la primaire, on jouait aux billets, aux pogs, aux jo-joes et des cartes (peu à l'époque)!! Depuis, les cartes ont envahis les cours de récré, entre "Magic", "Pokémon" et autre "Yu-Gi-Oh". Mais ce que vous ne savez peut-être pas, c'est qu'un nouveau style de carte a été lancé : les cartes de catch. Non non, ce n'est pas une blague. Des mômes de 6 ans s'échangent des cartes sur lesquelles on peut appercevoir des hommes à gros pec et des femmes à GROS atouts (vous m'aurez compris).Shocking!! Et ce n'est pas tout d'avoir des cartes...ils "jouent" aussi au catch dans la cour de récréation. V'là la nouvelle génération...

lundi 16 novembre 2009

PAN PAN

En écoutant la radio ce matin, j'apprends que la députée UMP et pédiatre Edwige Antier veut interdire la fessée. Selon elle (propos recueillis par Le Figaro) «Plus on lève la main sur un enfant, plus il devient sournois, agressif et menteur». «La seule chose que l'on fait passer à l'enfant» en lui donnant une fessée, «c'est qu'un conflit peut se résoudre par la violence» et «que le fort a le droit de frapper le faible». «On ne peut plus laisser entendre que ce n'est pas grave ou, même pire, que ça a une vertu éducative alors que c'est exactement le contraire».

Selon moi, il est exagéré de dire que la chose que l'on fait passer à un enfant en lui donnant une fessée est que "l'on peut régler les conflits par la violence". Il est clair que l'on ne doit pas absurde la fessée : il ne s'agit pas pour les parents d'en donner à tout va toutes les fois que l'enfant aura commis une bêtise, mais d'analyser la situation, de reprendre l'enfant une fois, une deuxième fois en haussant le ton, de le mettre en garde et si il n'applique toujours pas ce qu'on lui dit, d'envisager une sanction pouvant se traduire par une fessée.

Dire que donner une fessée constitue le droit pour le fort «de frapper le faible» est démesuré. On ne parle pas de forts et de faibles, mais de la relation parents-enfants. Or, on le sait, les parents n'ont pas le même statut que les enfants, on ne peut pas les mettre à égalité, dans le sens où les parents représentent une certaine autorité -soit dans le jargon juridique l' "autorité parentale"- Preuve en est qu'ils engagent leurs responsabilité pour les faits même non fautifs de leurs enfants ayant causés un dommage (l'article 1384 alinéa 4 du Code civil dispose que "Le père et la mère, en tant qu'ils exercent l'autorité parentale, sont solidairement responsables du dommage causé par leurs enfants mineurs habitant avec eux"). Aux parents d'imposer leur autorité, sans en abuser, mais je ne pense pas que la fessée, utilisée avec parcimonie, constitue un acte de maltraitance.


vendredi 13 novembre 2009

Auto(persuasion)

Parfois, il y a certaine chose que je ne comprends pas. Serait-ce dans le propre de l'humain de s'auto-persuader? Pourquoi est ce que certains continuent d'espérer alors que la probabilité que leurs espoirs soient fondés est pour ainsi dire complètement nulle? Non je ne comprends pas : Sur ma voiture (anciennement RENAULT), j'avais mis une affiche pour faire de la pub à mon cher et tendre A VENDRE PEUGEOT. Bon, ce sont peut-être deux marques françaises, mais mis à part cela, je ne vois pas ce qui incite des personnes à me demander "Elle est à vendre votre voiture?"(en parlant de la Renault). A moi de répondre "non c'est une peugeot".

On peut comparer cela à la situation d'un client qui vient vous voir en grande surface -à noter que vous avez le t-shirt/chemise du magasin- et qui vous demande "Vous êtes du magasin?" O_O.
Autopersuasion quand tu nous tiens.

mercredi 4 novembre 2009

Quand je râpe des carottes je ressemble à un môme de 3 ans qui dessine.


Sinon j'ai terminé de lire Into The Wild de Jon Krakauer. Eh bien mes cher(e)s, je vous encourage à ouvrir votre porte-monnaie et faire de même. Le film m'avait déjà énormément plu. Eh bien là j'ai été comblée. Attention, il ne s'agit pas de résumer le film. C'est beaucoup plus profond que ça. A la fois c'est un récit, mais c'est aussi une analyse notamment agrémentée de nombreuses citations d'autres livres ainsi que de comparaisons avec d'autres explorateurs, basée sur des témoignages, des documents. L'auteur semble avoir voulu retranscrire au plus près le chemin parcouru par le protagoniste, en l'occurrence Christopher Johnson McCandless alias Alexander Supertramp. C'est aussi une réflexion autour du personnage et des raisons de son départ : Ce n'était pas pour effectuer un exploit et ce n'était pas non plus irréfléchi.

Membres